Même si l’on souhaite toujours vivre la vie en rose au sein d’un couple, il se peut qu’une relation amoureuse devienne grise. Certaines personnes peuvent douter de l’amour de leur partenaire en pensant que l’infidélité règne désormais dans leur couple. Si jamais c’est aussi votre cas, rien de plus sûr que de passer par un test de fidélité pour voir si vos soupçons ont raison ou si ce ne sont juste que des illusions que vous vous êtes faites.
Test de fidélité : c’est quoi exactement ?
Grâce à l’évolution de la médecine médico-légale, il serait désormais possible de prouver les inquiétudes et les doutes qui concernent l’infidélité d’un conjoint. En quoi consiste un test de fidélité ? Il permet en effet de prélever de l’ADN aussi bien féminin que masculin. Grâce à ce test, il est également possible de procéder à l’identification du nombre de profils ADN qui se trouvent sur un échantillon suspect. Il est également possible de comparer l’ADN d’un individu précis et de le retrouver sur un autre élément suspect. En effet, rien n’est impossible avec la médecine médico-légale.
Rien de plus facile pour cela, il suffit juste d’extraire l’ADN à partir d’un échantillon tel un mégot de cigarette, un vêtement ou un drap qui a été taché de fluides corporels. Vous pouvez facilement vous procurer de ces tests d’infidélité en vous connectant sur Internet et en achetant sur des laboratoires en lignes. Vous pouvez leur envoyer les échantillonnages pour recevoir le résultat en seulement quelques semaines. Le coût de ces tests est très modique. Cependant, il se peut qu’il y ait des risques par rapport à la fiabilité de ces tests. Il est en effet fort probable que les résultats puissent être erronés étant donné que le risque zéro n’existe pas.
La loi et le test d’infidélité
Ce type de test peut également servir à la véracité d’une prochaine filiation. Il est en effet tout à fait possible d’en réaliser un pour savoir si le fœtus est bien celui du géniteur connu officiellement. Dès la neuvième semaine de gestation, le père peut demander à avoir un test de fidélité en demandant une simple prise de sang. Ce test est fiable à 99,9% et est moins invasif par rapport à une amniocentèse.
Pour information, ces tests sont interdits sur le territoire français. Ils doivent uniquement être effectués dans le cadre d’un concept judiciaire. En effet, c’est un juge du tribunal de grande instance, qui est chargé des affaires civiles, qui les requiert en général. Ces tests de fidélité ne sont pas praticables que si la personne demandeuse a un doute sur la filiation de l’enfant à naître. En plus de cela, il faut obligatoirement le consentement de l’individu sur lequel il va y avoir des prélèvements pour qu’une demande soit acceptée et validée.
Ce n’est qu’une fois que toutes ces conditions obtenues que le juge va donner l’autorisation de procéder à la demande ainsi qu’au recours à un test d’infidélité. Celui-ci doit passer par un laboratoire qui est à la fois certifié et agréé pour pouvoir procéder aux analyses.
Test de fidélité : pourquoi procéder à sa demande ?
Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles les gens demandent à faire passer un test ADN de fidélité. Les demandeurs peuvent être des conjoints volages et des pères se demandant si l’enfant qui va naître est réellement de leur sang. En dehors des doutes pouvant gâcher une relation, voire une vie entière, les conséquences de ces décisions peuvent des fois être très catastrophiques.
Un papa qui découvre tardivement que l’enfant qu’il a toujours élevé et éduqué, n’est pas en fait le sien, aura tant de résultats que sur votre enfant comprenant que son papa ne l’est pas biologiquement. Cela a un impact psychologique à ne pas négliger pour le bien-être des deux parties.